Laure Van De Steene

La digitalisation n’est pas un simple aspect de mon job, c’est carrément mon job !

Siemens et moi – l’amour au troisième regard

Pendant ma dernière année de secondaire, je savais déjà que je voulais m’orienter vers l'ingénierie et c’est donc ce que j’ai choisi quand je suis entrée à l’Université de Gand. En deuxième année, j’ai décidé de me spécialiser en génie physique. Mais j’ai vite constaté que la physique était un peu trop théorique pour moi. Du coup, pour mon Master, j’ai préféré l’ingénierie biomédicale, notamment l'imagerie médicale par irradiation, qui collait bien avec mes bases en physique. Et c’est ainsi que je suis arrivée chez Siemens. J'ai postulé au « graduate program » de Siemens Healthineers, qui permet à de jeunes talents de découvrir différents départements et domaines de l’entreprise. Malheureusement, ma candidature n’a pas abouti et j’ai commencé à chercher ailleurs.

 

Quelques mois plus tard, j'ai été à nouveau contacté par Siemens, cette fois pour un emploi dans l'équipe pharmaceutique. Je travaillerais avec le logiciel SIPAT. Comme j’étais curieuse d’en savoir plus, j’ai participé à une session d'information mais cette fois encore. Malheureusement, ma candidature n'a une fois de plus pas été retenue. Je n'ai pas laissé le courage faire son œuvre et j'ai décidé de faire comprendre dans un courriel que j'avais plus dans ma manche que ce que j'avais pu montrer jusqu'alors. Résultat : ils m’ont demandé de préparer un « case study ». C’est grâce à cette présentation que j'ai fini par les convaincre. Il a fallu plusieurs tentatives, mais la dernière a été la bonne et je travaille toujours chez Siemens.

Nous avons dû essayer plusieurs fois avant d'avoir le bon clic, mais je suis heureux de dire que je travaille toujours pour Siemens !
Laure Van De Steene

La digitalisation n’est pas un simple aspect de mon job, c’est carrément mon job !

pas un simple aspect de mon job, c’est carrément mon job. Avec notre logiciel SIPAT, nous aidons les entreprises pharmaceutiques à mieux contrôler leurs procédés en utilisant des mesures digitales et des calculs en ligne pour prévoir le résultat avec plus de précision.

 

Nous avons créé une solution « digital twin » en collaboration avec Atos pour améliorer des processus pharmaceutiques partout dans le monde. Elle permet notamment d’accélérer le développement des vaccins et d’en abaisser le coût sans perdre en qualité. C’est plus que jamais d’actualité. Le « process digital twin » pour le secteur pharma est une réplique digitale de chaque étape du processus de fabrication, reliée à des capteurs IoT dans l’unité de production. Grâce à l’analytique avancée, nous pouvons visualiser instantanément tous les détails des opérations à partir des données générées. Cette solution renforce l’efficacité et la flexibilité globales du processus de fabrication, mais permet aussi un développement de procédé plus durable et la mise en œuvre de mesures de qualité et de fiabilité optimisées. Et ce n’est pas tout : la solution « digital twin » pré-intégrée peut être transformée et adaptée à des processus de production de toute taille ou complexité. Pour en savoir plus.

 

Nous avons remporté un Werner Von Siemens Awards en 2020 dans la catégorie « Customer First » pour ce travail. 

Expérience professionnelle internationale

Vous connaissez le phénomène de pluie verglaçante ? Moi non plus, jusqu’à récemment. Il y a quelques années, aux États-Unis, j’ai assisté à ce spectacle étonnant : il tombe une pluie normale, mais dès qu’elle touche le sol ou votre voiture, elle gèle instantanément, créant une couche de glace de plusieurs centimètres d’épaisseur qu'il faut racler avant de démarrer. Dans la vie aussi, les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être. Le lieu de travail qui figure sur mon contrat par exemple. Il est indiqué Huizingen. Pourtant, au cours des deux ans et demi que j’ai déjà passés chez Siemens, j’ai voyagé aux États-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni, en France, en Suède, aux Pays-Bas et en Corée du Sud, malgré la pandémie. J’ai été très impressionnée par la gestion du Covid-19 dans ce pays. Je n’ai dû passer qu’une seule nuit en quarantaine à l’hôtel. Après avoir été testée négative, j’ai pu aller travailler sur le site du client et revenir à l’hôtel. Chaque jour, on m’appelait pour vérifier que tout allait bien et que je n’avais pas de symptômes. Je suis restée presque trois semaines en Corée du Sud. J'ai même pu faire un peu de tourisme le week-end avec ma collègue.

Plus qu'une équipe

Ce que j’aime par-dessus tout dans mon travail, c’est la variété et, bien sûr, mes collègues. Je ne m’ennuie jamais. Au contraire, nous formons une équipe hyper créative – et qui n’a pas froid aux yeux, comme le montre un de nos derniers team buildings : nous avons fait du saut en parachute. Vous avez bien lu : du SAUT EN PARACHUTE ! Ce type d’expérience crée vraiment des liens.

 

Mais nous ne faisons pas que des expériences du genre casse-cou. Notre équipe a aussi d'autres habitudes sympa, comme le covoiturage. Avant la pandémie, nous partagions toujours une voiture lors de nos déplacements chez les clients. Mon collègue Cedric habite près de Gand, comme moi. Pour aller chez notre client, nous devions généralement passer par Bruxelles, avec tous les bouchons. Pour rendre le trajet plus agréable, nous le faisions ensemble. Problème partagé est à moitié résolu, comme on dit.

 

Mais ce que j’aime surtout dans notre équipe, c’est le respect et l’appréciation mutuels, qui vont bien au-delà du cadre professionnel. J'aime beaucoup faire de la pâtisserie le week-end, par exemple. Un jour, suite à une erreur dans la recette, je me suis retrouvée avec une telle quantité de biscuits que j’ai en apporté au bureau, pour le plus grand plaisir de mes collègues. Ils me parlent encore de mes « pattes de bouc » !

Vous aimeriez aussi faire partie d’une équipe aussi formidable ? 

Apprenez-en davantage sur les esprits numériques de Siemens et trouvez votre futur rôle sur notre site web des carrières.