Rencontrer Simon
Simon Francis, 28 ans, travaille comme Field Service Engineer Factory Automation chez Siemens S.A/N.V. Il s’occupe notamment de la maintenance, des réparations et de la gestion de nouveaux projets chez des clients qui utilisent des machines, infrastructures ou logiciels de Siemens.- Nom : Simon Francis
- Age : 28 ans
- Études : Bachelor en informatique et science des systèmes, option automatisation
(Haute Ecole de Namur-Liège-Luxembourg) - Master ingénieur industriel, option automatisation (ECAM)
- Hobbys : faire de la moto et de l’électronique
- Intitulé de la fonction : Field Service Engineer Factory Automation chez Siemens S.A./N.V.
Pourquoi avoir choisi un Master ingénieur industriel avec l’option automatisation ?
Simon : Tout petit déjà, je m'intéressais beaucoup à l’électronique et à la mécanique. J’aimais les motos, les scooters, les voitures, les vélos… et très vite, les GSM et les ordinateurs n’ont plus eu de secrets pour moi. Il était donc écrit dans les astres que je suivrais une formation technique. Après mon bachelor, j’ai décidé d’encore approfondir ma formation et c’est ainsi que je suis devenu ingénieur industriel en automatisation.
Ton job actuel correspond à ce dont tu rêvais étant enfant ?
Simon : Oui, même si, quand j’étais enfant et adolescent, j’étais totalement convaincu que le métier d'ingénieur était très théorique. Or moi je voulais exercer un travail pratique où il faut se salir les mains. Mais plus tard, en secondaire et pendant mes études supérieures, je me suis rendu compte que les ingénieurs devaient aussi beaucoup travailler de leurs mains et ça m’a conforté dans mon choix. Malgré ma formation théorique, je travaille aujourd’hui comme ingénieur sur le terrain, au plus près des machines, et je peux littéralement mettre les mains dans le cambouis. Il y a autant de jobs pratiques que théoriques dans le secteur. Les jeunes ingénieurs qui viennent d'avoir leur diplôme ont donc énormément d’options et de possibilités devant eux. Je garde un bon souvenir de mes études et si je devais revenir en arrière, je referais le même choix.
« Siemens est un leader mondial de l’automatisation. Pour un Field Engineer, c’est comme jouer en Champions League tous les jours »Simon Francis
Tu conseillerais le métier d'ingénieur ?
Simon : Oui, sans hésiter. Comme pour d’autres études, il faut beaucoup bosser et ne pas relâcher ses efforts. Mais le travail paie. On acquiert énormément de connaissances de base qu’on peut continuer à développer tout au long de sa carrière. En tant qu’ingénieur, on en apprend tous les jours et chaque semaine est différente. Chez Siemens, j’ai moi-même eu la chance de travailler dans des secteurs très divers, comme l’automobile, l’agroalimentaire, le pharma, la pétrochimie, etc. Cela offre beaucoup de défis et d’expériences enrichissantes. Le secteur industriel bouge beaucoup et évolue tout le temps, ce qui veut dire qu'on continue à apprendre et à progresser soi-même en permanence. J’adore ce changement continu et je suis très content de pouvoir participer à la transition digitale. Dans dix ans, notre société aura complètement changé et je trouve ça très excitant. Un ordinateur d’il y a vingt ans n’a plus grand-chose à voir avec les appareils et les systèmes de haute technologie que les entreprises utilisent de nos jours.
Est-il vrai que le métier d'ingénieur garantit la sécurité d’emploi ?
Simon : Certainement. J’ai reçu plusieurs propositions avant même d'avoir terminé mes études. C’est un métier en pénurie. Du coup, on peut vraiment choisir le job qui correspond le mieux à ses intérêts et à ses talents. Moi, j’ai finalement préféré devenir Field Service Engineer chez Siemens. Siemens est un leader mondial en automatisation, Pour un ingénieur, c’est comme jouer en Champions League tous les jours. Et puis, on a l’habitude de travailler avec du matériel, des machines et des logiciels Siemens pendant nos études. Le choix de Siemens était donc une évidence pour moi.
