Ces jeunes partagent leurs expériences

  
La vie chez Siemens

Qui mieux que deux stagiaires en poste et un ancien stagiaire pour vous convaincre de rejoindre Siemens Mobility ?

Découvrez Manuela, Aurélien et Louis-Felix qui nous parlent pilotage de projets ambitieux et missions à responsabilité.

Aurélien est passionné de big data. Cela fait maintenant quelques mois qu'il a rejoint les équipes de Siemens Mobility et a souhaité nous partager son expérience au sein du groupe. Projets ambitieux, interlocuteurs internationaux, il nous en dit plus sur sa mission en tant que stagiaire data analyst. 

Peux-tu nous en dire un peu plus sur toi et ton parcours ? 

 

Je m’appelle Aurélien, je suis stagiaire data analyst chez Siemens Mobility au département Customer Services sur le site de Toulouse. Je réalise des études d’ingénieur à l’ENSIAME en informatique et génie industriel et souhaiterai plus tard travailler dans un domaine lié au big data ! Initialement, je suis originaire de Lille et en dehors de ma passion pour le big data, j’aime beaucoup le cinéma, la photographie et la musique. J’aime également beaucoup le sport, notamment le football et le football américain ! 


Pourquoi avoir choisi le secteur du ferroviaire en particulier ?

 

Le ferroviaire est un secteur passionnant et essentiel qui participe à améliorer la qualité de vie de millions de personnes dans le monde. Les moyens de transport en commun sont empruntés chaque jour. De plus, il s’agit d’un secteur innovant à tous points de vue, que ce soit au niveau de la conception des trains/métros (efficacité, rendement, peu polluant…) ou au niveau de leurs exploitations et de leurs maintenance (récupération de données pour améliorer la maintenance et la disponibilité des trains, analyse des déplacements des voyageurs, …).


Quelles sont tes missions au quotidien ?

 

Je travaille sur le projet Railigent pour la nouvelle ligne de métro à Rennes. Ma mission consiste à récupérer des données générées par le train, sélectionner celles qui présentent une plus-value pour l’amélioration de la maintenance du Néoval et mettre en place des dashboards permettant de visualiser ces données. Pour cela, je suis en contact avec des experts en maintenance et des ingénieurs conception pour comprendre le fonctionnement du Néoval et présenter les données pertinentes. Je travaille également avec des data scientists basés en Allemagne pour adapter le produit Railigent au Néoval.

 

Finalement, ce qui me plait le plus dans mes missions, c’est de travailler avec des interlocuteurs variés en France mais aussi à l’étranger, sur des sujets concrets qui permettront d’améliorer le confort des passagers. Cette expérience professionnelle me donne vraiment confiance en moi car j’ai pu me rendre compte que je suis capable de travailler dans un cadre ambitieux et dynamique au sein d’un grand groupe comme Siemens. 

 

Après un an de stage au sein de différentes activités de Siemens, Manuela a pu évoluer sur une mission de contrôleuse de gestion projets et est fière de nous partager son expérience.

 

Peux-tu nous en dire un peu plus sur toi et sur ton parcours ? 

 

Je m’appelle Manuela. J’ai débuté mon parcours par deux années de classes préparatoires puis j’ai réalisé une Licence 3 d’économie gestion avant d’intégrer Audencia Business School à Nantes. C’est dans le cadre de mon année de césure que j’ai eu la chance d’effectuer deux stages au sein de Siemens, en rejoignant dans un premier temps l’activité Siemens Financial Services en tant que Gestionnaire des partenaires, et aujourd’hui en tant que Contrôleur de gestion projet chez Siemens Mobility depuis le mois de Septembre. 

 

En dehors de cela, j’ai également une passion qui n’est pas des plus communes : le tir sportif, mon exutoire ! C’est une activité que je pratique avec mon père lorsque je rentre voir ma famille dans le sud. À défaut, j’apprécie un petit jogging après une journée bien chargée !

 

Quelles sont tes missions au quotidien ? 

 

L'objectif premier du contrôle de projet consiste à vérifier que le projet est mené conformément au plan adopté et à créer une transparence entre les fonctions et les phases du projet. Je réalise cette mission en effectuant régulièrement des comparaisons entre les objectifs, la réalité puis en analysant les écarts. Cela permet à la direction du projet de prendre rapidement des contre-mesures. En outre, nous permettons de réduire les risques, les incertitudes liés aux projets et prévenir les événements inopportuns. Nous échangeons pour cela régulièrement avec les équipes opérationnelles pour trouver des solutions et assurer la bonne réalisation du projet. 

 

J’adore la diversité de mes missions. Travailler sur un projet, c’est comme travailler dans une petite entreprise. Bien que nous soyons en charge de l’aspect financier, nous travaillons sur des sujets variés. Nous bénéficions d’une vue globale sur le projet, et j’aime me dire que notre rôle est de garantir le bon déroulement de celui-ci. 

 

Qu’est-ce que t’apporte cette expérience professionnelle et Siemens au quotidien ?

 

Cette expérience est très enrichissante car elle me permet d’acquérir une certaine maîtrise des outils informatiques et de mieux saisir les enjeux du secteur ferroviaire, qui est un secteur d’avenir.

Après un stage de six mois, Louis-Félix a été embauché comme architect logiciel chez Siemens Mobility à Châtillon. Entre son intérêt pour l'électronique et l'informatique, il s'est découvert une passion pour le monde du ferroviaire et a décidé de mettre ses compétences au service de projets qui ont du sens et qui lui offrent de réelles responsabilités.  

Peux-tu nous en dire un peu plus sur toi et sur ton parcours ? 

 

Je m’appelle Louis-Félix et je suis architect logiciel dans la supervision des métros. J’ai rejoint Siemens dans le cadre de mon stage de fin d’études avec l’ECE Paris. J’ai toujours eu un intérêt particulier pour l’ingénierie, l’informatique et plus précisément tout ce qui se rapporte aux systèmes embarqués. J’ai souhaité m’orienter vers le pôle de développement de Siemens Mobility car il s’agit du pôle principal de développement des systèmes d’automatisations présent sur certaines lignes du métro de Paris.

 

En plus de ma passion pour le monde de l’électronique et de l’informatique, j’ai longtemps pratiqué la natation et j’adore skier. Je suis assez curieux, j’adore voyager et visiter de nouveaux endroits. J’ai pour projet, lorsque la situation sanitaire le permettra, de voyager à travers le Japon pour compléter mon précèdent séjour à Tokyo il y a deux ans et que j’avais adoré ! 

 

Pourquoi avoir choisi le secteur du ferroviaire en particulier ?


Ce qui me motive principalement dans le monde de l’ingénierie, c’est le défi technique, la complexité des tâches. C’est grâce à un ami passionné du domaine des transports et du ferroviaire que je m’y suis intéressé et j’ai été impressionné par les possibilités techniques que ce monde offrait, un monde en constante évolution. Avec l’évolution de l’automatisation et la place de plus en plus prépondérante de l’intelligence artificielle, des perspectives assez incroyables s’ouvrent sur le monde du ferroviaire et du transport en général, d’un point de vue technique et sociétal.


Comment tu imagines la mobilité de demain ?

 

La mobilité de demain sera partagée et non individualisée comme c’est le cas aujourd’hui avec la voiture individuelle. Et pourquoi ? Pour des raisons pratiques avec l’accroissement et l’urbanisation des populations mais aussi pour des raisons environnementales. Le ferroviaire est au cœur de ces sujets et offre de nombreuses possibilités qui auront un impact de plus en plus significatif et positif sur l’environnement. C’est ce qui me plaît finalement : pouvoir participer à des évolutions importantes et avoir un impact positif sur la société grâce à l’innovation technique.

 

Quelles sont tes missions au quotidien ?

 

Actuellement, mon poste est orienté autour du développement logiciel, essentiellement pour le compte du projet d’un grand opérateur ferroviaire Français. J’effectue de la veille technologique, j’aide à spécifier des interfaces logicielles et je réalise des développements sur-mesure pour répondre à des exigences spécifiques du client. Par exemple, j’ai récemment travaillé sur la manière d’assurer le transfert d’informations de manière sécurisée entre plusieurs machines sur des réseaux interconnectés, aux exigences de sécurité différentes. Pour cela, je dois réaliser la partie de définition, de spécification avant de prendre part au développement de la fonctionnalité. C’est très complet et je n’ai pas le temps de m’ennuyer ! Je travaille avec les responsables produit et projet ainsi qu’avec tous les bords du projet et du service.

 

J’adore mon métier, l’ensemble des sujets sur lesquels je travaille mais surtout leurs impacts significatifs et positifs sur la société. J’ai toujours été fasciné par les mécanismes automatiques et j’ai aujourd’hui la chance de travailler sur ce qui rend les métros autonomes allié à une problématique de cybersécurité, c’est très stimulant. Mais finalement, ce qui me plaît le plus et me rend fier chaque jour, c’est pouvoir me dire que ce que l’on fait à un impact réel, positif sur la vie des gens et pouvoir voir le fruit de son travail, cela donne une autre dimension à ce que je fais. Ça donne du sens à mes missions et c’est définitivement gratifiant.

 

Siemens Mobility propose de nombreux stages sur des métiers variés partout en France, notamment à Châtillon, Toulouse, Roubaix ou Rennes. Le groupe Siemens compte, à l'heure actuelle, plus de 250 apprentis et stagiaires en France et environ 10 000 dans le monde au service des industries de demain : l’électronique, l’informatique, la métallurgie et la technologie.